Eglise Catholique Gallicane

PRIEURÉ SAINTE RITA

Mgr Dominique Philippe

Secrétariat -Tél: 06 11 99 38 73

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Email: paroissesainterita@orange.f

 

Monseigneur Dominique PHILIPPE reçoit : une Fois par MOIS à Paris.

Son secrétariat est joignable au : 06 11 99 38 73

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UNE BELLE VIDEO SUR L’ACTIVITE PASTORALE
DE MONSEIGNEUR DOMINIQUE PHILIPPE AU SEIN DE L'EGLISE CATOLIQUE GALLICANE A PARIS.

La commander à :
Paroisse Sainte Rita 27 rue François BONVIN PARIS XV

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Mgr Dominique PHILIPPE Archevèque Primat

 

de L'Eglise Catholique Gallicane de PARIS

 

 

 

 

Monseigneur Dominique PHILIPPE est un fervent et fidèle dévot de Sainte RITA. Très jeune, il avait déjà une grande confiance en l’avocate des causes désespérées. Il fonda à Paris, une chapelle dédiée à sainte RITA. Puis, à la suite d’heureuses circonstances, il obtint la cession de la très belle église de la 27 rue François BONVIN dans le 15 iéme arrondissement de Paris, qui devint la Cathédrale de l’Eglise Catholique Gallicane de PARIS dont Mgr Dominique PHILIPPE est l’Archevêque PRIMAT.
Fidèle à L’esprit Gallican ainsi qu’à la liturgique de la Messe catholique traditionnelle de Saint Pie V, de belles cérémonies sont célébrées en cette Cathédrale catholique Gallicane. Le Gallicannisme est la doctrine qui défend les libertés de l'Église catholique en France contre le centralisme de la papauté. Le plus illustre représentant de ce courant fut le grand Bossuet, évêque de Meaux (XVII ème siècle), qui rédigea les quatre articles gallicans de 1682 signés par l'assemblée des évêques de France.
Bossuet ne fit d'ailleurs que reprendre les décisions du concile de Constance (1414-1418) qui rappela (conformément à la règle en usage dans l'Eglise universelle et indivise du premier millénaire) que le concile oecuménique (assemblée de tous les évêques) était l'organe suprême en matière d'autorité et d'enseignement au sein de l'Eglise.

 

Ecclésiologie Gallicane:


Bossuet ne pouvait ignorer la Pragmatique Sanction, ordonnance royale promulguée par Charles VII en 1438 avec l'assentiment de ses théologiens et qui limitait déjà, au profit du pouvoir royal, les droits de la cour de Rome en matière de nomination aux évêchés et aux abbayes, de perception des revenus ecclésiastiques, d'appels, d'excommunications ou d'interdits. Le concile général y était reconnu supérieur au pape, les élections des évêques et des abbés étaient rétablies. Par ce texte, Charles VII avait déjà donné à la France un statut de pur esprit gallican.

Mais tous ces décrets ne furent pas reconnus par Rome qui les condamna.

Cependant, ces condamnations ne paraissent pas avoir beaucoup ému les gallicans d'alors. Ainsi en 1461, Louis XI accorde à Pie II l'abrogation de la Pragmatique; mais le Parlement de Paris (haut lieu de résistance gallicane) refuse d'enregistrer ses lettres. En 1472, c'est un concordat véritable qui est conclu entre Louis XI et Sixte IV; mais le Parlement, qui se pose en défenseur des anciens canons, refuse encore l'enregistrement de ce concordat qui reste lettre morte.

En 1545, au concile de Latran, le cardinal de Lorraine déclare publiquement que l'Université de Paris lui a enseigné la suprématie du concile général sur le Pape, et qu'il ne peut moins faire que de défendre cette doctrine en fils soumis à sa mère éducatrice. Et il ajoute : "Jamais un évêque de France n'admettra la déclaration du concile de Florence sur la prééminence du pape".

Malgré l'opposition résolue de Rome, la Pragmatique Sanction de Bourges demeure en vigueur en France jusqu'au Concordat de Bologne signé en 1516 par François 1er et Léon X; et au-delà, elle ne cesse d'inspirer la politique religieuse en France, jusque et y compris sous la Révolution et l'Empire.

Au XVIIème siècle, Louis XIV et Bossuet marquent la belle époque du gallicanisme.

En 1681, le roi réunit l'Assemblée extraordinaire des évêques de France en leur demandant de rappeler dans une déclaration solennelle les grands principes des Libertés de l'Eglise Gallicane.
Bossuet, qui vient d'être nommé évêque de Meaux et qui est le personnage le plus marquant de cette assemblée, est chargé d'en rédiger le texte.
Sous le titre de Déclaration du clergé gallican sur le Pouvoir dans l'Eglise elle se compose de quatre articles (d'où le nom de Déclaration des Quatre Articles qui la désigne habituellement).
En voici le résumé:
1) Les princes ne sont pas soumis à l'autorité de l'Eglise dans les choses temporelles.
2) L'autorité du pape est limitée par celle des conciles généraux.
3) L'autorité du pape est limitée par les lois et coutumes du roi et de l'Eglise de France.
4) L'opinion du pape n'est pas infaillible, à moins qu'elle ne soit confirmée par l'Eglise.
Le 19 mars 1682, la déclaration est soumise à l'Assemblée du clergé de France et approuvée par l'unanimité de ses évêques, ce qui en dit long sur l'importance du sentiment gallican à cette époque !


Après la révolution, face à l’Eglise concordataire soumise au pouvoir civil et à la mise au pas du Vatican, ce fut Mgr Francois Chatel (1795-1857) qui reprit le flambeau des libertés gallicanes et qui dirigea l’Eglise Catholique Francaise. Puis, dès 1904, Mgr Jules Houssaye en devint le Primat jusqu’en 1911, date à laquelle fut élu Mgr LOUIS Francois Giraud, patriarche et primat de l Eglise Gallicane.
Lui succédèrent :
Mgr Isidore Jalbert-ville de 1950 à 1957
Mgr Jospeh Poncelin d’Eschevannes de 1957 à 1970
Mgr Guy Patrick Truchemotte de 1970 à 1987
Mgr Dominique-Hubert Philippe pour l’Eglise Catholique Gallicane à Paris dont il est le Primat.
Depuis 1987, il réunit, sous sa présidence, le synode National les Evêques Gallicans, à savoir :
Mgr Jean-paul Marty, Evèque coadjuteur, Mgr Damien T Diefendhal, Evêque d’Alsace Lorainne
Mgr Bauwelers, Archevêque pour la Belgique.
L’Eglise Catholique Gallicane de Paris est Membre du Conseil International des Eglises Communautaires, qui est membre du conseil oecuménique de Genève.

Qu’en est-il aujourd’hui du gallicanisme français?

C’est une autocéphalie juridictionnelle avec le maintien absolu de la foi apostolique et celle des conciles oecuméniques. Les Eglises Catholiques Gallicanes sont très proches de l’Eglise Romaine. Ce qui les différencie, c’est l’ordination sacerdotale conférée à des pères de famille, (comme c' est d’ailleurs le cas pour les églises uniates qui sont unies à Rome) et l’indépendance juridictionnelle : c’est à dire : l’autocéphalie. Mais, le contenu essentiel et fondamental de sa Foi chrétienne est celle de l’Eglise catholique apostolique et Romaine.

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Mgr André BAUWELEERS Mgr Dominique PHILIPPE Mgr Damien DIEFENTHAL

 

 

 

La vie de Sainte Rita :
Avocate des causes désespérées

 

 

 

C'est une étonnante et admirable histoire que celle de Sainte Rita

qui fut épouse, mère de famille et religieuse.

L'Ombrie où elle va naître en 1381 est un monde à part, pays montagnard fermé à l'extérieur, isolé par les montagnes et, plus encore, par sa langue et ses coutumes, ses particularités religieuses et son comportement typique.

Pour parvenir à son hameau natal de Roccaporena il faut cheminer longuement par des sentiers ardus. C'est à 700 mètres d'altitude que vit la famille de Rita.

Cet isolement est encore renforcé par la crise religieuse et morale de cette époque. En France le Roi perd de plus en plus son pouvoir, la Guerre de Cent Ans ruine les provinces, dans toute l'Europe sévit la terrible peste noire qui fera des centaines de milliers de victimes. L'Eglise est déchirée, après l'exil d'Avignon, le Pape Grégoire XI est revenu mourir à Rome. Urbain VI son successeur doit faire face à de nombreux problèmes, celui de la prolifération de nombreuses sectes, celui du Grand Schisme d'Occident avec ses deux, puis ses trois papes...

C'est le combat sans merci que se livrent les deux prétendants à la papauté. Ils sont cupides, cruels, sanguinaires. Chacun se disant le seul légitime et n'hésitant pas à voler, torturer, piller sans merci...

L'on va jusqu'à la sorcellerie, jusqu'aux voults avec des statuettes de cire pour tenter d'asseoir ce pouvoir pontifical : Urbain VI et Clément VII ont oublié tout esprit chrétien dans leur soif de pouvoir.

C'est une époque terrible que traverse l'Eglise de Rome et Rita en prend conscience. En France Jeanne d'Arc fera le même constat pour son pays.

Rappelons que Rita naît 31 ans avant Jeanne d'Arc et qu'elle meurt 26 ans après. Quand Jeanne d'Arc entend ses voix, Rita est déjà moniale à Cascia. Deux vies extraordinaires qui resteront légendaires.

Longtemps désirée, Rita naquit en 1381 au mois de mai à Roccaporena en Ombrie pas très loin de Cascia, en Italie, d'où son nom de sainte RITA de CASCIA. Son père : Antonio Mancini, sa mère : Aimée Lotti. A cet enfant qui vient de naître, on donne le nom de Margarita dont le diminutif RITA lui est resté.

Alors que ses parents travaillaient dans les champs et qu'ils avaient déposée la jeune Rita dans son berceau, un essaim d'abeilles entra dans sa bouche, sans lui faire aucun mal. Ce fait quasi miraculeux laissait présager pour cette enfant un avenir extraordinaire… Ce fait miraculeux fut connu dans la région et laissait présager pour Rita un avenir hors du commun.

Elevée très chrétiennement par ses parents, Rita aimait se retirer à l'écart pour prier. Elle construisit une petite chapelle de branchage et lorsque sa mère s'inquiétait de savoir ou était Rita, elle allait tout de suite au fond du jardin, sûre de pouvoir y trouver son enfant en prière.

C'est ainsi que peu à peu naquit en elle, le désir de se consacrer entièrement à Dieu.

Mais ses parents voyaient surtout la sécurité pour l'avenir de leur fille et ils avaient un autre projet pour elle. Ils souhaitaient la marier à un beau parti. Justement dans la région, Antonio Ferdinando était bien connu. C'était un solide gaillard qui avait la réputation d'être un valeureux guerrier. Il avait été en relation avec d'anciens chefs de bande pendant les années de trouble. Le point noir était son caractère irascible et son penchant pour l'alcool. Etait-ce vraiment le mari idéal pour Rita ?

Ses parents voyaient surtout la sécurité pour l'avenir de leur fille et ils décidérent de la marier.

Rita fut bouleversée. Elle qui ne songeait qu'à se consacrer à Dieu !

Elle supplia ses parents de lui épargner cette épreuve, mais en vain. En ce temps là, on ne demandait pas l'avis de la jeune fille ; les mariages étaient l'affaire des parents qui organisaient les alliances selon leurs intérêts.

Rita avait 16 ans, elle dut se soumettre. Cependant cette contraiété dans sa vocation n'atteint pas sa confiance en la providence. Elle se demanda si précisément ce n'était pas dans cette voie, qu'elle allait progresser dans la charité, qui est le secret de la vraie perfection chrétienne.

Mais Rita souffrit beaucoup de cette situation, d'autant plus que Ferdinando repris peu à peu ses mauvaises habitudes et ses dangereuses fréquentations. Son mari allait jusqu'à la frapper dans ses moments d'ivresse. Par contre dans ses beaux jours, il savait être aimable. Rita décida de le convertir par la douceur, la prière et le dévouement.

Elle eut des jumeaux, deux fils. Peu à peu Ferdinando se radoucit, il cessa de fréquenter ses mauvais amis, et perdit l'habitude de boire avec excès. Gagné par la douceur de Rita, il décida de ne plus porter d'armes sur lui. Les jumeaux grandissaient, mais très vite ils avaient hérité de leur père une certaine agressivité que Rita avait bien du mal à combattre.

Un soir, un voisin vint prévenir Rita qu'une agression venait d'avoir lieu à cinq lieux d'ici dans le couloir de la Vesina, réputé dangereux parce que fréquenté par des bandits. Il en avait été le témoin et avait pu s'approcher Ferdinando qui lui avait dit quelques mots avant de mourir. Il pardonnait à ses agresseurs et remerciait Rita de tout ce qu'elle avait fait pour lui. Rita avait gagné la conversion de son mari. Il était sauvé.

Cependant ses deux fils jurèrent de le venger, et cela malgré les objurgations de leur mère. Rien n'y fit. Ils rencontrèrent un soir les meurtriers de leur père et engagèrent le combat. Ils furent victimes de leur témérité. Appelée près de ses deux fils agonisants, elle obtint leur conversion et ils moururent en paix. Rita avait obtenu du ciel leur conversion.

Restée seule, elle pouvait désormais espérer retrouver sa vocation religieuse et entrer chez les sœurs Augustines de Cascia. Mais son entrée fut refusée. On ne voulait pas d'une veuve. N'avaient le droit d'être religieuses que des jeunes filles.

Rita aurait pu, à ce moment là, douter une fois de plus de la providence. A quoi bon prier, aurait-elle pu se dire ? Mais elle ne se découragea pas. Elle pria avec ferveur. Elle multiplia les œuvres de charité envers les pauvres. Elle comprenait leur souffrance et leur détresse, parce qu'elle avait elle-même beaucoup souffert.

On l'aimait énormément à Cascia, on la sentait habitée par la présence et l'amour du Christ. C'était un personnage qui jouissait d'une grande renommée de sainteté.

Un soir de Noël, alors qu'elle entrait dans l'Eglise du monastère, une sœur lui fit signe, contre toute attente, de prendre place dans le chœur avec les moniales. Ainsi sa prière était enfin exaucée. Elle allait pouvoir devenir religieuse. Rita devenait vraiment l'avocate des causes désespérées.

On la mit à l'épreuve de différentes manières pour voir si sa vocation était solide. On lui ordonna d'arroser une rose et un olivier complètement desséchés. Ils refleurirent ; le rosier donna des fleurs et l'olivier des fruits. Son obéissance exemplaire avait fait ce miracle.

Très connue dans la région de Cascia, on venait la consulter de partout. Elle avait l'expérience de la vie et savait comprendre toutes les situations difficiles et toutes les misères humaines. A tous, elle apportait le réconfort de sa foi et de sa prière. Chose étonnante : tout s'arrangeait lorsqu'on s'adressait à Rita. Sa prière était entendue du ciel. Le bouche à oreille fit le reste. Elle devint vraiment l'avocate des causes désespérées.

On venait de partout voir la sainte et lui confier ses problèmes. La communauté n'apprécia pas cette publicité qui suscita une certaine jalousie parmi les sœurs. Pourquoi venait-on consulter tout particulièrement la veuve de Ferdinando et pas les autres sœurs ? Rita le comprit et vint un soir, s'agenouiller devant le grand crucifix de l'autel et elle lui demanda de l'associer davantage à sa passion pour rétablir la paix dans la communauté. Elle voulait aider à sauver les âmes de tous ceux qui s'adressaient à elle. Sa prière fut exaucée.

Une épine de la couronne du Christ se détacha mystérieusement et vint se figer sur le front de Rita. Peu de jours après, une odeur pestilentielle se dégagea de la plaie. Il n'en fallut pas davantage, pour que la communauté considéra que cette épreuve était une punition du ciel pour la vie passée de Rita qui cependant avait été exemplaire. Mais à cette époque, la renommée de Ferdinando, son mari assassiné et le meurtre de ses deux fils, ne passaient pas pour être une vie exemplaire et sans histoires.

Finalement, on la relégua dans une cellule par peur de la contagion. Rita accepta tout dans un esprit de sacrifice admirable.On lui passait sa nourriture par une petite ouverture pour ne pas être contaminé. Un matin du 22 mai 1457 une odeur extraordinaire de rose se répandit dans tout le monastère, ainsi qu'un lumière particulière : Rita venait de mourir. Son visage avait retrouvé une beauté toute surnaturelle. La communauté se rendit compte alors qu'elle avait eu une sainte parmi elle. Elle lui rendit hommage en diffusant sa vie et son œuvre.

Rita devint rapidement célèbre dans toute l'Italie et bientôt dans le monde entier. Elle fut connue et invoquée comme l'avocate des causes désespérées. Elle fut béatifiée en 1626 par le Pape Urbain VIII et canonisée en 1900 par le Pape Léon XIII . Son corps, dans un état de conservation parfaite, repose dans l'Eglise de Cascia en Italie.

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La Messe des animaux

Bénédiction des animaux le 6 mai 2006 à 15h30 dans le cadre de la fête des animaux.

Eliane considère que les animaux sont des créatures de Dieu et qu’ils ont une âme.

Fervente croyante de l’église catholique, elle a donc trouvé tout naturel d’emmener Loel, son petit caniche blanc, à la messe. Mais bien sûr, cela fit à plusieurs reprises scandale. Les gens partaient ou chassaient la pauvre Eliane en criant au sacrilège !

Lassée, Eliane ne fréquenta plus les lieux saints, jusqu’au jour où elle rencontra le prélat de l’église catholique Gallicane Sainte Rita, qui, lui, accueille, avec bienveillance ces petits êtres à l’âme simpliste mais si pure.

Eliane, redevenue fidèle paroissienne de Sainte Rita, en a convaincu bien d’autres de venir régulièrement avec leur chien suivre l’office du dimanche dans une ambiance de prière et de chants. Contrairement à ce que l’on peut penser, il n’y a ni aboiement, ni jappement, ni la moindre déjection pendant l’office. Ces petites créatures sont tout compte fait bien sages.

près de 400 personnes plus le cheptel, soit mille créatures de Dieu présentes à la messe des animaux.

Chaque année (premier dimanche de Novembre) à l’église Sainte Rita, à l’occasion de la solennité de Saint François d’Assisse (1182-1226), une messe est célébrée spécialement pour les animaux. Durant ce moment unique, il y a affluence rue François Bonvin dans le XVème. De nombreuses personnes assistent étonnés, devant l’église, au défilé de dromadaires, zèbres, lamas et même tortues, poissons, lapins, chats et chiens tous réunis pour la bénédiction. Il y a bien quelques réticences dans un certain clergé, mais finalement, l’initiative du père Philippe est bien vécue ! Il y a donc certainement un paradis pour tous …
Brigitte Dijon.

 

SECRETARIAT: Tél: 06 11 99 38 73

 

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